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Membres groupes terroristes armés

Membres des groupes terroristes armés

Depuis avril 2012, trois groupes terroristes armés « Ansar Dine, Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) » contrôlent le nord du Mali et imposent le règne de la terreur, appliquant des sanctions comme l’amputation, la flagellation et la lapidation à mort contre ceux qui contestent leur interprétation de l’islam. Ces groupes affiliés à Al-Qaïda existaient depuis plusieurs années dans les pays du Sahel, une présence « préoccupante » pour les États-Unis comme le montrent plusieurs émails de Stratfor publiés par Wikileaks.

Un de ces émails révèle que des troupes des forces spéciales américaines ont pris part le 15 juin 2009 à un raid contre une base d’Al-Qaïda près de la frontière algérienne sans l’autorisation de l’ONU, l’émail affirme que les États-Unis collabore étroitement avec le gouvernement du Mali pour neutraliser Al-Qaïda au Maghreb, le groupe terroriste le plus dangereux dans la région.

US-Mali

Les États-Unis collabore étroitement avec le Mali

Ces opérations unilatérales rendent inutile l’adoption d’une résolution autorisant le déploiement d’une force internationale au Mali afin d’en chasser les groupes terroristes qui contrôlent le nord du pays, le seul but probable de cette résolution – si on prend en considération la crise économique qui secoue les États-Unis et les pays membres de l’Union européenne – est de « légitimer » les opérations militaires au Mali afin de trouver un financement international à ces opérations.

INSIGHT – Des forces spéciales américaines au Mali pour des opérations contre Al-Qaida

Le document original du site Wikileaks est accessible ici.

Email-ID 75570
Date 2009-06-29 18:33:16
De reva.bhalla@stratfor.com
À secure@stratfor.com
Autres MessageId:<455F7485-128C-4CEA-B3C89E18D9EAC99E@stratfor.com>
PUBLICATION : background/analysis
ATTRIBUTION : N/A
DESCRIPTION DE LA SOURCE : Journaliste
FIABILITÉ DE LA SOURCE : C
CRÉDIBILITÉ DE L’ELEMENT : 3
DISTRIBUTION SUGGÉRÉE :
TRAITEMENT SPÉCIAL : N/A

Ma source dit : des forces spéciales américaines ont pris part à l’attaque récente de l’armée malienne contre une base d’Al-Qaïda près de la frontière algérienne. Le raid a résulté l’élimination d’environ 30 militants d’Al-Qaïda. Les États-Unis collabore étroitement avec le Mali pour neutraliser Al-Qaïda au Maghreb (Afrique du Nord), qui est actuellement l’organisation islamiste la plus dangereuse dans la région.

Stratfor

New York. Mercredi, la juge Loretta Preska a rejeté la demande de libération sous caution de Jeremy Hammond qui est accusé d’avoir hacké l’agence américaine de renseignement « Stratfor ».

La juge fédérale a rejeté la demande de mise en liberté sous caution déposée par les avocats de Jeremy Hammond. Jeremy est accusé d’être un membre du groupe « Anonymous » et d’avoir hacké les ordinateurs de la société privée de renseignement « Stratfor ». WikiLeaks a publié en février 2012 les documents « Stratfor » qui se comptent par millions, sous le nom de « The Global Intelligence Files ».

Les soutiens de Jeremy Hammond expliquent que les documents éclairent sur la façon dont l’agence privée de renseignement « Stratfor » surveille les militants et espionne pour le compte d’entreprises. Jeremy Hammond est détenu sans caution ni jugement depuis plus de huit mois. Au cœur du réseau de soutien, Sue Crabtree a défendu les actions présumées de Jeremy.

Sue Crabtree : Les médias définissent Jeremy comme hacker et membre d’Anonymous. Les tribunaux et ceux qui le poursuivent disent qu’il est un criminel. Pour nous Jeremy un est héros ! Et encore une fois nous disons, « dénonçer les crimes de l’Etat n’est pas un crime. »

Communiqué d’Anonymous : Anonymous « For Great Justice »

Salutations ! Nous sommes Anonymous. Nous avons une annonce importante concernant le procès de l’hacktiviste Jeremy Hammond. Nous pensons qu’une grande injustice a lieu dans le procès de Jeremy et que le public et les médias doivent être informés. Jeremy Hammond a droit à un procès équitable dans un tribunal compétent, indépendant et impartial. Dans les circonstances actuelles, ce n’est pas possible.

Jeremy Hammond est un activiste politique qui est accusé d’avoir participé en Décembre 2011 au hack de l’agence de renseignement « Stratfor ». Il est accusé d’avoir donné des documents de l’agence « Stratfor » àWikiLeaks pour diffusion au public.

La juge en charge du dossier se nomme Loretta Preska. Lors de l’audience Loretta Preska qui a dépeint Jeremy comme étant un terroriste plus dangereux qu’un meurtrier ou un prédateur sexuel, a rejeté sa libération sous caution et a annoncé qu’il devra faire face s’il est reconnu coupable à une peine de prison allant de 360 mois à la perpétuité.

Ce que la juge Preska n’a pas révélé lors de cette audience, c’est qu’elle est liée par la loi de se retirer de cette affaire en raison d’un conflit d’intérêts direct. Le 11 Septembre 1983 Loretta Preska a épousé Thomas J. Kavaler, actuellement associé au cabinet d’avocats Cahill Gordon & Reindel LLP.

Si vous examinez la base de données « Stratfor », qui a été publié par Wikileaks, vous trouverez dans la liste des clients l’adresse de courriel : tkavaler@cahill.com. Cette adresse se trouve également sur Cahill.com et elle appartient à Thomas Kavaler, le mari de la juge Preska.

Par procuration la juge Preska est une victime qui a pourtant l’intention de juger le coupable. La juge Preska a omis de divulguer que son mari est un client de « Stratfor », violant ainsi le Code des États-Unis. La juge Loretta Preska dont l’impartialité est mis en doute a un préjugé évident contre Jeremy Hammond, comme en témoigne ses déclarations au cour de l’audience.

Dans l’intérêt de la justice, le public et les médias doivent exiger que la juge Preska se retire ! Sans une justice libre et impartiale : ni nos personnes, ni nos droits, ni notre propriété ne peuvent être protégés.

Anonymous Solidarity Network

Le 25 janvier 2010, un Boeing 737 de la compagnie Ethiopian airlines (vol ET-409 Beyrouth/Addis Abeba) s’est abîmé en mer quelques minutes après son décollage, en pleine tempête, de l’aéroport de Beyrouth, à 02h30 locales (00h30 GMT), avec 90 personnes à bord, dont 54 libanais. Aucun survivant n’a été retrouvé.

Un homme inspecte les debris du crash de l'avion d'ethiopian airlines sur une plage de la cote libanaise le 25 janvier 2010

Un homme inspecte les debris du crash de l’avion d’ethiopian airlines sur une plage de la cote libanaise le 25 janvier 2010

Trois jours après le crash, les boites noires de l’appareil ont été localisées à environ 10 kilomètres à l’ouest de l’aéroport, selon le rapport final et officiel de l’enquête, le crash est dû à une erreur de pilotage, les conclusions de ce rapport ont été rejetées par la compagnie éthiopienne. La compagnie a affirmé dans un communiqué signé par son vice-président des opérations de vol, Desta Zeru et réalisé sur la base de témoins visuels, qu’un sabotage, foudre ou tirs pouvaient être à l’origine du crash, car l’avion s’est désintégrée en vol à cause d’une explosion.

Cette hypothèse est confirmée par un des émails de Stratfor – récupérés par les hackers d’Antisec et publiés par Wikileaks -, l’email avec l’ID 85813, échangé entre Antonia Colibasanu et le service des analyses de la société le 10 février 2010 révèle que les services de renseignement militaire libanais ont estimé que l’avion était sabotée par le Mossad, la source interrogée par Antonia Colibasanu (une source fiable et travaille pour les services de renseignement militaire libanais) a affirmé que le Mossad avait saboté l’avion pour assassiner le cousin de Hassan Nasrallah Hashim Saifeddine, car il croyait que ce dernier figurait parmi les passagers de l’avion.

INSIGHT – Plus d’informations sur le crash de l’avion éthiopien et l’histoire de sabotage

Le document original du site Wikileaks est accessible ici.

Email-ID 85813
Date 2010-2-10 16:40:01
De colibasanu@stratfor.com
À analysts@stratfor.com
Listname mailto:analysts@stratfor.com

PUBLICATION: background/analysis

ATTRIBUTION: Source de STRATFOR

DESCRIPTION DE LA SOURCE: Renseignement militaire libanais

FIABILITÉ DE LA SOURCE: B

CREDIBILITÉ DE L’ELÉMENT: 3

DISTRIBUTION SUGGÉRÉ: analystes

GESTIONNAIRE DE SOURCE: Reva

** Il se passe quelques choses de plus ici que l’histoire d’erreur de pilotage. Cette source était fiable dans le passé.

L’analyse initiale de la boite noire récupérée du jet éthiopien n’a pas montré une erreur de pilotage, comme suggéré précédemment par les médias libanais. La communauté des services de renseignement libanais estime que l’avion a été sabotée par le Mossad. À son avis, c’était la première frappe dans la prochaine guerre entre Israël et le Hezbollah. Il dit que les israéliens ont agi selon une fausse croyance que le cousin de Hassan Nasrallah Hashim Saifeddine figurait parmi les passagers de l’avion.

Saifeddine est largement considéré comme le vrai homme numéro deux du Hezbollah. Ma source dit qu’il semble que les israéliens veulent se débarrasser des têtes du Hezbollah avant la guerre, afin qu’ils puissent perturber ses commandes et démoraliser ses subordonnés.

Les libanais sont confrontés à un dilemme. Ils ne peuvent pas admettre que la bombe a été plantée dans l’avion à l’aéroport de Beyrouth, car ça révèle l’ampleur du laxisme de la sécurité. Quand j’ai parlé à la source à ce sujet, il m’a rappelé le cas du crash d’Egyptair en Amérique du Nord en 1999. Les autorités égyptiennes n’ont pas permis aux États-Unis de révéler publiquement le résultat de l’enquête qui signalait un crash suicidaire du pilote Al-Battuti.

31Octobre 1999 : vol 990 Egyptair, un Boeing 767 de la compagnie Egyptair s’abîme en mer au large de la côte est des États-Unis avec 217 personnes à bord. Peu après le décollage de New York, le deuxième copilote demande avec insistance à remplacer le premier copilote avant l’heure prévue puis, peu après, le commandant de bord l’aurait laissé seul au poste de pilotage. Ce dernier aurait alors volontairement coupé le pilote automatique et prononcé plusieurs fois « I rely on God (je m’en remets à Dieu) ». Lorsque le commandant de bord parvient enfin à revenir dans le cockpit, il rattrape l’appareil qui descendait en piqué, mais le copilote avait coupé les moteurs. Le Boeing fait une chute de 33 000 pieds (environ 10 000 m) en 83 secondes puis est pulvérisé à la surface de la mer. Il n’y a pas de survivant. Un défaut des rivets de la gouverne de profondeur est attesté (des modifications ont dû être réalisées sur plusieurs appareils en service) mais il n’expliquerait pas tout. L’hypothèse du suicide du copilote est retenue par le bureau américain d’enquête et contestée par la partie égyptienne. Ce suicide pourrait être lié à l’interdiction pour le copilote de retourner à nouveau aux États Unis, interdiction prononcée la veille par le chef pilote à la suite d’une affaire de mœurs, la frustration du copilote de n’avoir jamais été promu commandant de bord à quelques mois de sa fin de carrière est également avancée.

Source

L’avion s’est explosé en plein vol. Une erreur de pilotage aurait provoqué une perte de l’équilibre et un crash en mer. Veuillez noter que le mot « une possible erreur de pilotage » a refait surface juste après que le ministre de la santé parlait d’une explosion. Tard, il a dû émettre une clarification que l’explosion n’était pas nécessairement le résultat d’une action militaire. Notez qu’il a utilisé «nécessairement» alors qu’il pouvait simplement l’exclure. Le ministre de la santé a apparemment perdu son sang froid et a mentionné «explosion» quand un des proches des passagers provoquait des troubles et insistait de voir les corps des morts. Il leur a dit qu’il y avait pas de corps, mais seulement des morceaux de chair.

Le lundi 27 février, Wikileaks a lancé la publication des « Global Intelligence Files » (petits papiers du renseignement mondial), plus de cinq millions d’emails de la société de renseignement privée Stratfor, basée au Texas. Les emails – saisis par des hackers du collectif Anonymous le 24 décembre 2011 – couvrent une période allant de juillet 2004 à fin décembre 2011. L’équipe du blog de l’opération Leakspin est parvenue à dénombrer quelque milliers emails ayant pour objet l’Algérie parmi les cinq millions récupérés.

La traduction intégrale de l’email ayant l’ID 1132443, daté du 23 février 2011 et échangé entre Reva Bhalla, la directrice des analyses chez Stratfor (ici pour consulter son profil sur le réseau LinkedIn) et le service des analyses de la même firme nous confirme les rumeurs qui circulent en Algérie d’une éventuelle guerre silencieuse entre le clan du président de la république Abdelaziz Bouteflika et le clan du tout-puissant patron du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), le général Mohamed Mediene, dit « Tawfic ».

L’email qui représente le témoignage d’un diplomate algérien, une source crédible selon Stratfor (FIABILITÉ DE LA SOURCE: C – L’importance de la source se classe entre des notes allant de A à F, la note A représentant la source la plus fiable et la note F la source la moins fiable – / CRÉDIBILITÉ DE L’ÉLÉMENT: 3 – La crédibilité de l’information se classe entre des notes allant de 1 à 10, la note 1 représentant l’information la plus crédible et la note 10 l’information la moins crédible -) révèle que le vrai combat n’est pas entre  Mediene, le général affaibli par la maladie et Abdulaziz Bouteflika, mais entre Mediene et le jeune frère du président Said.

Saeed Bouteflika au volant a coté de son frère le président Abdelaziz

Saeed Bouteflika au volant a coté de son frère le président Abdelaziz

INSIGHT – ALGERIE – Maintenant le chef des renseignements est sur la défensive?

Le document original du site Wikileaks est accessible ici.

Email-ID                    1132443
Date 2011-02-23 19:00:25
De bhalla@stratfor.com
A analysts@stratfor.com                                                                                                                        

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PUBLICATION: Pour analyse
ATTRIBUTION: STRATFOR source
SOURCE DESCRIPTION: Diplomate algérien
FIABILITÉ DE LA SOURCE: C
CRÉDIBILITÉ DE L’ÉLÉMENT: 3
DISTRIBUTION: Analystes
GESTIONNAIRE DE SOURCE: Reva

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** Michael Harris a pris les devants dans ce qui suit pour récupérer quelques parties du background de ces mecs pour une mise à jour. Élément clé pour expliquer la désescalade des protestations en Algérie et nous avons besoin de déterminer avec précision quand les syndicats se sont retirés.

Le général Mohammad Mediene, souvent surnommé général Tawfic, est gravement malade et succombe au diabète et à la vieillesse. Il (La source -le diplomate algérien-) dit que le vrai combat n’est pas entre le président Abdulaziz Bouteflika et Mediene. Mais il est entre Mediene et le frère du président Saeed, qui semble prédominant contre Mediene. Ce dernier a été encore affaibli par la mort de son ami le général Al-Ammari qui était en charge des opérations des services de renseignement algériens. Saeed est en train de préparer son ami le général Fawzi pour remplacer Tawfic (Mediene) le plutôt possible. Saeed, qui contrôle pratiquement tout en Algérie, a convaincu les syndicats de se dissocier des mouvements de protestation.

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Stratfor

Le lundi 27 février, Wikileaks a lancé la publication des « Global Intelligence Files » (petits papiers du renseignement mondial), plus de 5 millions d’emails de la société de renseignement privée Stratfor, basée au Texas. Les emails couvrent une période allant de juillet 2004 à fin décembre 2011. Ils révèlent le fonctionnement interne d’une entreprise qui annonce être un service de renseignement privé, mais qui fournit des services de renseignement confidentiels à de grandes entreprises, comme Dow Chemical Corporation à Bhopal (Inde), Lokheed Martin, Northrop Grumman, Raytheon, ainsi qu’à des agences gouvernementales, telles que le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS), les « Marines » et l’Agence du renseignement pour la défense (DIA). Les emails dévoilent le réseau d’informateurs de Stratfor, sa structure de financement, les techniques de blanchiment d’argent et les méthodes psychologiques employées.

[alpha] INSIGHT – LIBYE/ALGERIE – Q (Qaddafi) a cherché refuge en Algérie – ME1

L’email ayant l’ID 120909 rendu public ce lundi 24 juillet 2012 par wikileaks, daté du premier septembre 2011 et échangé entre l’Officier de contrôle (Watch officer) Ben Preisler (ici pour consulter le profil de Ben Preisler sur le réseau LinkedIn) et les services de la société de renseignement privée Stratfor reflète un peu de lumière sur les derniers jours du dictateur libyen déchu, Mouammar Qaddafi.

Bouteflika a coté du dictateur Libyen déchu Mouammar Qaddafi

Bouteflika a coté du dictateur Libyen déchu Mouammar Qaddafi

Selon des informations recueillies par un des agents de Stratfor auprès d’un diplomate algérien, le guide libyen Mouammar Qaddafi a tenté de trouver refuge en Algérie, l’email daté du 1 septembre 2011, soit deux jours après l’arrivée de la famille Qaddafi en Algérie nous révèle que le président algérien abdelaziz Bouteflika a refusé de répondre aux appels répétés de Qaddafi, la source diplomatique algérienne avait affirmé aussi que les services de renseignements algériens ont localisé l’emplacement du guide libyen et ils l’ont transmis à l’intelligence britannique, cette information a permet à des unités spéciales britanniques de l’attraper et de l’exécuter.

Le document original du site Wikileaks est accessible ici.

Email-ID 120909
Date 2011-09-01 17:07:49
De ben.preisler@stratfor.com
A alpha@stratfor.com
Liste-Nom alpha@stratfor.com
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SOURCE : Sous-source via ME1 (Middle East 1)
ATTRIBUTION: STRATFOR source
SOURCE DESCRIPTION: Diplomate algérien via ME1
PUBLICATION: Oui
FIABILITÉ DE LA SOURCE: C
CRÉDIBILITÉ DE L’ÉLÉMENT: Pourrait être un cover-up (un camouflage) puisque l’Algérie été sous pression pour avoir soutenue Q (Qaddafi)
TRAITEMENT SPÉCIAL : Alpha
GESTIONNAIRE DE SOURCE : Reva
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La source confirme les informations sur les tentatives de Mouammar Qaddafi a cherché refuge en Algérie. Le président algérien abdulaziz Boutafliqa a refusé de répondre aux appels répétés de Qaddafi. La fille et la première épouse de Qaddafi ont été autorisés à rentrer en Algérie après que le conseil provisoire libyen avait renoncé à son opposition à l’affaire. Les services de renseignement algériens ont déterminé la localisation du Qaddafi dans la ville de Bani Walid, qui se trouve à environ 100 miles (160 kilomètres) au sud-ouest de Tripoli. Il (le diplomate algérien) a dit que les Algériens ont transmis l’information à l’intelligence britannique. La tâche de chasser Qaddafi a été confiée à des unités spéciales britanniques. Il est convaincu que les britanniques finirons par l’attraper (Qaddafi).

Qaddafi sera abattu tôt ou tard. Ce qui est important maintenant est la sécurité des anciens de la tribu Warfala (une tribu libyenne) qui fournit un sanctuaire au Qaddafi. Le problème avec Warfala devra être résolu pacifiquement, car c’est la plus grande tribu au Libye et aussi parce que beaucoup de ses jeunes ont combattu aux côtés des forces du Conseil provisoire. L’Algérie a un intérêt direct dans l’élimination du Qaddafi afin de l’empêcher de s’allier avec Al-Qaeda au Maghreb.


Benjamin Preisler
+216 22 73 23 19

Le 2 mars, le blog de l’Opération Leakspin a entamé la traduction et la publication de quelques emails de Stratfor « une société de renseignement privée basée au Texas, US », saisis par des hacktivistes Anons liés à l’opération #AntiSec -récemment arrêtés par le FBI- et publiés par Wikileaks le 27 février 2012 (à ce jour, seulement 973 emails des cinq millions emails récupérés ont été publiés par Wikileaks).

De son coté, en plus du divulgation des courriels, wikileaks a mis en ligne son propre moteur de recherche, cette plateforme surnommé « cabledrum » permet aux internautes d’accéder facilement aux articles publiés par plusieurs médias internationaux et ayant pour sujet les documents publiés par wikileaks comme « The Global Intelligence Files », parmi ces medias, figure notre modeste blog (Opération leakspin), Aljazeera, CNN, BBC, Forbes, Le Monde, Der Spiegel, ….etc.

Cette capture d'écran montre que le blog de l'Opération Leakspin est cité par le moteur de recherche cabledrum de Wikileaks a coté des autres medias

Cette capture d’écran montre le blog de l’Opération Leakspin cité par le moteur de recherche cabledrum de Wikileaks a coté des autres medias

Vous pouvez consulter le moteur de recherche (GIFiles) propre à wikileaks ici.

Wikileaks Press, un autre projet approuvé par Wikileaks pour traquer l’impact de ses publications sur les médias et donc sur la société, Wikileaks Press propose des résumés hebdomadaires regroupant les articles qui s’intéressaient aux documents Wikileaks, le résumé publié le 8 avril par ce site cite et à plusieurs reprises les traductions des courriels de Stratfor publiés par le blog de l’Opération Leakspin.

Wikileaks Press

Wikileaks Press

Le résumé s’intéressait précisément aux traductions de l’email : ID 66013, intitulé « INSIGHT – Israel – assassinat d’Imad Mughniyeh – IL1 » et l’email : ID 1624947 Re : Anonymous.

Ici pour consulter « This Week in the Press: 8 – 14 March, 2012« .